10 septembre 2006

Valmeinier -> Lac de Bissorte ; 2 jours ; description


Le barrage de Bissorte a été créé en 1931 pour la production d'électricité. Il fait 60 mètres de haut et 545 mètres de long. Ce fut un projet considérable. Aujourd'hui, il a toujours la même fonction mais il accueille en plus pècheurs, chasseurs et bien sûr randonneurs. La montée à partir du Prec s'effectue par la forêt et même au niveau du lac, la végétation est encore abondante malgré l'altitude assez élevée. La faune se compose surtout de sauterelles en masse, de poissons et de marmottes sur les hauteurs.
Rien ne sert de partir le matin, en début d'après-midi cela suffit car la montée du Prec vers le barrage n'est pas bien longue même si un peu raide (1h30). C'est surtout le poids du sac à dos qui ralentit la progression. Le sentier rive droite (à l'ouest) est interdit suite à un arrêté car trop dangereux. Il faudra donc monter à partir du fond de la route en terre vers la rive gauche (à l'est). Ne vous fiez pas trop aux indications des panneaux de randonnées car elles sont malheureusement assez aléatoires concernant les temps et l'interdiction en question.
L'arrivée au niveau du barrage permet de contempler le lac et de visualiser l'installation EDF (bâtiments, téléphérique, barrage en lui-même...). Des panneaux sont là pour expliquer la construction de l'édifice. Vous pouvez contourner le barrage par l'est ou l'ouest pour rejoindre le refuge en une heure. Le mieux est de passer d'un côté à l'aller et de l'autre au retour.
Au niveau du refuge, vous pourrez vous ravitailler en eau et essayez de compter le nombre impressionant de moutons et les quelques chèvres qui broutent ça et là... Mais, n'oubliez quand même pas de profiter de la jolie vue qui vous est offerte.
Comptez encore une heure de montée pour rejoindre le petit mais tranquille lac des Bataillères où vous établirez votre campement. Le bivouac est plus ou moins toléré hors des parcs protégés à condition de ne laisser aucune poubelle et de ne pas faire de feu. Respectez la nature. A cette endroit, vous pourrez planter votre tente avant la nuit et profitez du calme absolu de la montagne toute la soirée. Une nuit absolument paisible s'offrira à vous si vous n'avez pas oublié de prendre un sac de couchage et des vêtements chauds car les nuits sont fraîches en haute montagne.
Après un repos bien mérité, il ne vous reste plus qu'à redescendre le lendemain. Le plus dur dans cette randonnée est finalement de porter l'équipement necessaire à deux jours de plaisir en montagne.
Pour conclure, c'est donc une randonnée bien jolie qui permettra de ressourcer votre mental en dormant au plus près de la nature dans un cadre naturel.

Valmeinier -> Lac de Bissorte ; 2 jours ; présentation


VALMEINIER (LE PREC) -> LAC DE BISSORTE -> LAC DES BATAILLERES
Quelques jours auparavant, j'effectuais une nouvelle randonnée en direction du Lac de Bissorte et de son barrage EDF. Le départ a eu lieu du parking du Prec à Valmeinier. Pour y aller, il faut à partir de la vallée prendre direction Saint Michel de Maurienne puis monter vers Valloire et le Col du Galibier. Avant d'arriver au col du Télégraphe, prendre direction Valmeinier. A Valmeinier (1500) tourner à gauche avant l'église et monter. Au croisement suivant, prenez à droite et passez devant un parking dont une partie est souterraine et prendre le chemin de terre d'une dizaine de kilomètres (il n'y a aucune indication de direction, donc si vous ne trouvez pas, n'hésitez pas à demander à la population locale). Il est conseillé d'avoir une voiture pas très basse pour emprunter ce chemin de terre ou alors d'aller tout doucement en première vitesse car il est accidenté.
Le parking est à une altitude de 1726 mètres et le point le plus haut de la randonnée, le lac des Bataillères, à 2422 mètres.
Cette randonnée est connue pour être assez fréquentée en été mais là en septembre, malgré le très beau temps chaud, il n'y avait presque personne. Près du lac de Bissorte, il y a le refuge des Marches où vous pouvez dormir.
Cette randonnée peut être effectué en une journée mais partir pour deux jours a l'avantage de profiter vraiment du calme montagnard. L'inconvéniant est par-contre de devoir transporter une tente et un sac de couchage ralentissant ainsi bien le rythme de marche et augmentant la fatigue.

21 juillet 2006

Refuge de l'Orgère -> Col de la Masse ; 1 jour ; description


A notre arrivée à la porte de l'Orgère, on comprend rapidement que la balade va être raide car le chemin qui part à droite au bout de la route interdite n'a pas l'air des plus facile... Mais honnètement, ça vaut le coup de forcer un peu ! La montée au Col de la Masse est l'un des itinéraires les moins fréquentés de l'Orgère et pourtant... On démarre avec une flore abondante pour finir par sa disparition au sommet. Pour la faune, les marmottes sont très présentes au début mais elles sont font remplacées au fur et à mesure de la montée par les bouquetins que l'on peut facilement approcher (on est dans leur fief : cf photo). Magnifique ! Les chamois quant à eux se laissent apercevoir que de loin.
Au sommet, il faut s'arrêter dans cet espace minéral pour contempler au loin les massifs mauriennais, Mont Thabor en tête. Comme d'habitude dans le parc, l'itinéraire est bien indiqué et la balade vous demandera 3h00 pour monter et 2h00 pour descendre par le même chemin.
Que dire de plus ? Rien, à part vous conseillez d'y aller car c'est une randonnée, certes un peu difficile mais tellement jolie, tellement proche de la faune et de la flore. Pensez à apporter votre appareil photo et à me remercier à votre retour.

Refuge de l'Orgère -> Col de la Masse ; 1 jour ; présentation


REFUGE DE L'ORGERE -> COL DE LA MASSE
Il y a une semaine et demi, l'aventure randonnée en Maurienne continuait en direction du Parc de la Vanoise et plus précisément de l'Orgère. Qui dit Parc de la Vanoise dit respect de certaines règles (cf www.vanoise.com ) mais promenade forcément très jolie. Le stationnement du véhicule s'établit à la porte de l'Orgère, à côté du refuge. Pour y accéder, il faut emprunter la route nationale 6 et au Freney (près de Modane), suivre les indications "Parc National de la Vanoise - Porte de l'Orgère".
Le point de départ de la rando est à 1935 mètres et l'arrivée à 2923 mètres, soit un dénivelé important déconseillant ainsi la montée à des personnes agées et aux enfants surtout que le chemin est bien raide. En plein milieu du mois de Juillet, la neige a disparu (sauf une coulée ou deux...) et les températures sont très clémentes. L'Orgère est généralement réputé pour ses paysages de haute montagne, sa faune et sa flore alpines.

7 juillet 2006

Important : à tous les randonneurs !!!

Si vous souhaitez faire une randonnée, en Maurienne, à plusieurs et que vous cherchez du monde, ce blog peut aussi servir à ça. Prévoyez une randonnée suffisamment à l'avance et prévenez-moi par email ou en répondant à ce billet. Je posterais un sujet en précisant les modalités (date, lieu...) afin d'établir un rendez-vous collectif. Ca peut être sympa, ça évite de partir tout seul et aussi ça permet de connaître du monde.
Alors n'hésitez pas !

5 juillet 2006

Col de la Croix de Fer -> les 3 lacs ; 1 jour ; description


Les 3 lacs, bien connus par les Mauriennais, ont bonne réputation et cela est parfaitement justifié. C'est un itinéraire bien fréquenté car notamment proche de la capitale de la vallée et desservi par un refuge. Plus haut que le col de la Croix de Fer, on ne rencontre plus d'arbres mais une végétation verdoyante avec un tas de fleurs aussi jolies les unes que les autres dont je ne pourrais cependant vous dire leur nom (je ne m'y connais guère en flore). Pour la faune, rien de bien visible au premier coup d'oeil à part des marmottes mais qui se font quand même plus discrètes qu'en Vanoise. Ici, ce sont peut être les poissons qui tiennent le premier rôle puisque des pècheurs viennent tenter leur chance dans ces lacs, à moins que les grenouilles, qui ne semblent pas avoir peur de froid, règnent en maître !
Tout au long de la randonnée, vous aurez une superbe vue, notamment sur les aiguilles d'Arves mais aussi sur un un tas d'autres sommets. En ce qui concerne la difficulté, c'est raide au début (et donc à la fin) mais ça reste correct, surtout que les chemins sont larges à ces niveaux. Le site web de la station de Saint Sorlin d'Arves indique 2h30 de montée, 1h pour le tour des lacs et 1h30 pour redescendre. Pour ma part, avec mon ami, en prenant bien notre temps, il me semble qu'on a mit qu'1h30 à monter. D'ailleurs, je vous conseille de prendre le chemin de droite au col à la montée et vous reviendrez par celui de gauche en contournant ainsi les Perrons dont le plus haut s'élève à 2537 mètres d'altitude. Pour cette rando, la carte IGN n'est pas obligatoire mais apporte quand même un plus.
Vous pourrez vous restaurer à midi au refuge si vous ne voulez pas emmener de pic nic. Un refuge sympathique (que je n'ai pas testé) avec vue sur le premier des 3 lacs, lac encore bien gelé à cette période et vraiment magnifique. Une couleur bleue pure, on se croirait presque sur la banquise ! Les deux autres lacs sont eux aussi superbes comme vous le montre la photo.
En résumé, c'est une bien belle randonnée autour de trois petits charmants lacs d'altitude. Une balade de plus qui montre que la Maurienne ne se limite pas à sa route en vallée envahie de camions comme le pense souvent les gens ne la connaissant pas. Et puis, pour les habitants du coin qui ne sont pas encore venus ici, ce lieu prouve que ce n'est pas la peine d'aller loin pour trouver de beaux coins.

Col de la Croix de Fer -> les 3 lacs ; 1 jour ; présentation


COL DE LA CROIX DE FER -> LES 3 LACS (LAC BRAMANT, LAC BLANC ET LAC TOURNANT)
Hier, je randonnais de nouveau vers les sommets de la fameuse vallée de la Maurienne. Le départ s'est effectué au col de la Croix de Fer (voir photo), frère du col du Glandon aussi réputé notamment par les cyclistes, en dessus Saint Jean de Maurienne. Pour monter jusque là haut, rien de plus simple, suivre direction Saint Sorlin d'Arves dès Saint Jean de Maurienne et arrivé à la station, continuer à monter jusqu'au col et stationner son véhicule sur le parking prévu. Ce col culmine à 2064 mètres d'altitude et le point culminant de la balade est à 2533 mètres.
Je voulais faire cette randonnée car elle est particulièrement réputée pour ses paysages et lacs magnifiques. A proximité du premier des trois lacs (lac Bramant ou aussi appelé le Grand Lac), se trouve le refuge de l'Etendard où vous pouvez manger. Ainsi, au cours du trajet, il peut être judicieux de suivre les indications de direction du refuge. En juillet, la neige est encore présente ça et là mais rien de génant pour randonner. Niveau températures, mieux vaut toujours prévoir plus mais ça ne devrait pas être utile sauf si vous comptez continuer la montée jusqu'au glacier.

2 juillet 2006

L'Ecot -> Sources de l'Arc ; 1 jour ; description


Le parc de la Vanoise est probablement l'un des plus beaux endroits du Pays de Savoie et cette randonnée ne pouvait être que superbe. Lorsqu'on arrive déjà en voiture à Bessans, on découvre le majestueux paysage qu'est la Haute Maurienne. A ces altitudes, on ne rencontre plus tellement d'arbres mais surtout des pierres, on se croit vraiment coupé de la population urbaine. La nature est préservée. Le long de la promenade, on cesse de monter en se rapprochant doucement mais sûrement du glacier de l'Arc, pas loin de la frontière franco-italienne. Le début de la randonnée est plate et ce n'est que vers le 1/3 qu'on commence à prendre un petit chemin assez raide et tortueux jusqu'au sommet. Mieux vaut avoir de bonnes chaussures pour ne pas se tordre la cheville et ne pas prendre l'eau à chaque traversée d'un petit cours d'eau car ils sont nombreux ! Tous ces petits ruisseaux ça et là et l'Arc qui se réduit petit à petit en montant donne véritablement soif, alors n'apportez pas du pastis mais bien de l'eau, beaucoup d'eau ! Le long du parcours vous croiserez obligatoirement la route de marmottes, d'ailleurs ça siffle de partout. Au sommet, j'ai même pu voir deux chamois mais il ne se laissent pas approcher.
Tout le long, l'itinéraire est très bien balisé sauf peut être un moment après avoir choisi "sources supérieures de l'Arc", il faut prendre le chemin vers le haut, mais de toute façon celui vers le bas est plus ou moins coupé. Aucune carte n'est à prévoir surtout qu'il est interdit de s'écarter du chemin pour préserver la flore et déranger la faune, à moins que vous souhaitez emprunter un chemin de haute montagne (réservé à des randonneurs avertis) à partir des sources de l'Arc. Pour monter, le temps indiqué est 3h10 mais j'ai mis 2h10 en montant pourtant pas si vite et en faisant de petites pauses. En descente, par-contre, j'ai haussé le rythme en ne mettant que 1h30 au lieu des 3h00 indiquées. Cette descente se fait par le même chemin que la montée, donc aucun risque de se tromper.
Pour conclure, c'est donc une très jolie randonnée à faire, comme toutes les autres partant de l'Ecot. Vous ne croiserez pas forcément beaucoup d'humains car ce n'est pas le chemin le plus fréquenté du coin et c'est tant mieux ! Après une telle journée, on ne peut qu'admettre l'utilité essentielle des parcs nationaux. Et avant de partir, pensez à lire, au parking, les petits panneaux raccontant la vie du village de l'Ecot et d'y faire un petit tour.

L'Ecot -> Sources de l'Arc ; 1 jour ; présentation


L'ECOT -> SOURCES DE L'ARC
Jeudi, j'effectuais une très jolie randonnée dans le parc national protégé de la Vanoise. Avant tout, sachez qu'il existe un certains nombres de règles strictes à respecter lorsqu'on s'aventure dans un parc protégé. Mieux vaut donc se renseigner avant de partir en visitant le site web dédié : www.vanoise.com . Pour faire cette randonnée, il faut se rendre jusqu'au fin fond de la vallée de Maurienne au pied du col de l'Iseran. Arrivée à Bonneval Sur Arc, prendre la petite route pour se rendre jusqu'à l'ancien village de l'Ecot : magnifique (cf photo) ! Là bas, deux grands parkings vous accueilleront pour garer votre véhicule avant de partir à pied vers les hauteurs. L'objectif de l'"expédition" est de se rendre là où nait l'Arc, la rivière qui descend tout au long de la vallée. Nous partons donc d'une altitude de 2027 mètres pour monter jusqu'à 2750 mètres. Mieux vaut prévoir donc un vêtement chaud car sur l'arrivée il ne fait pas forcément très chaud, surtout que ce jour là il faisait nuageux.

26 mai 2006

Champessuit -> La Platière ; 1 jour ; description


C'est une randonnée jolie, partant de la forêt et montant jusqu'à des altitudes où les arbres ont bien disparu. La vue est belle, notamment sur St Jean de Mne et les sommets de la vallée de la Maurienne. On remarque plusieurs fois les Aiguilles d'Arves. Niveau difficulté, il faut avouer que c'est assez raide et par endroit, mieux vaut ne pas avoir le virtige. Aussi, de bonnes chaussures de rando sont recommandées. A plusieures reprises, la traversée de torrents est obligatoire. Néanmoins, rien d'insurmontable ! En ce qui concerne la faune, elle se fait rare à notre passage et les marmottes ne semblent pas vraiment peupler la zone. Par-contre, les sommets de l'Echaillon, où nous sommes, sont réputés pour abriter les bouquetins et c'est ainsi que nous avons pu en approcher trois à une dizaine de mètres. C'est vraiment splendide ! Le chemin n'est par-contre pas bien balisé et donc l'usage d'une carte IGN peut être une bonne chose même si elle ne s'avère pas totalement indispensable (surtout après mes explications !!!). En marchant tranquillement, avec de petites pauses, il faut compter 2h15 pour se rendre à La Platière (contre 2h30 indiqué) et 3h15 pour la "descente" en passant par le Chalet de l'Alpettaz, le Col de la Baisse, Montbéranger et La Ville.
Pour redescendre par ce chemin, il faut, arrivé à La Platière (une petite maison et un garage en tôle, endroit sympa où vous pourrez vous assoir pour manger à l'abris du vent), traverser le ruisseau et prendre le chemin "peu marqué" en direction de la descente. Après vous arriverez vers un monolithe et continuez à longer la montagne pour aller vers le chalet qu'on perçoit en face (Chalet de l'Alpettaz). Il faut ensuite descendre par le grand chemin (praticable par un 4x4) et au Col de la Baisse prendre direction Montbéranger. Ici, passer dans le village et continuer par le chemin principal, à la Ville faire de même en allant en direction du torrent (dans la combe), le traverser et la fin n'est plus très loin. N'hésitez pas à demander des renseignements à l'agréable population de ces deux petits hamaux.
Au final donc, c'est une randonnée agréable, à faire en un jour, au printemps, en attendant de pouvoir grimper un peu plus haut dans la montagne. C'est un itinéraire pas très fréquentée où vous serez donc tranquille. Il vaut mieux par-contre prévoir beaucoup d'eau car au niveau de La Platière, il n'y a rien pour ravitailler.
Et si vous voyez Mango (ou Bango) le chien, donnez-lui le bonjour !

Champessuit -> La Platière ; 1 jour ; présentation


CHAMPESSUIT -> LA PLATIERE -> CHALET DE L'ALPETTAZ -> MONTBERANGER -> LA VILLE -> CHAMPESSUIT
Première randonnée de l'année, je suis donc parti avec mon ami Julien pour découvrir les hauteurs de Saint Jean de Maurienne que je ne connaissais pas. Pour s'y rendre il faut, à St Jean de Mne, prendre direction Hermillon, traverser ce village, prendre direction Montandré puis Champessuit (à 25 minutes de St Jean de Mne). Arrivé juste à côté de ce hamaux, on peut garer son véhicule à côté d'un plan (cf photo) et partir de cet endroit vers La Platière ou plus loin, le Plan du Tovet ou même le Grand Coin. Mais pour un début et en raison de la présence de la neige, nous avons choisi La Platière qui culmine "seulement" à 1909 mètres d'altitude. Nous partons donc de Champessuit (1160 mètres d'altitude) et le point le plus haut de la randonnée est le Chalet de l'Alpettaz à 2007 mètres d'altitude. En cette saison, il n'y a plus de neige sauf quelques coulées ça et là mais pas trop génantes.

21 mai 2006

Bienvenue en Maurienne !


Bienvenue sur le blog Aventure Rando ! L'objectif de ces pages web est de présenter la Maurienne, vallée savoyarde souvent mal-connue et pourtant si belle. Je suis un randonneur pédestre novice et donc je n'ai pas la prétention de donner des conseils ou de présenter le meilleur matos pour la randonnée mais simplement de rapporter mes "histoires" et photos afin de vous donner à vous aussi l'envie de venir vous balader sur les sommets des Alpes. J'essayerai de présenter le mieux possible les parcours effectués à travers des explications écrites ou dessinées mais je ne peux directement scanner une carte achetée car je n'en ai simplement pas le droit ! La plupart des randos que je ferai seront effectuées seul, je pense, muni simplement d'une boussole, d'une carte IGN, d'un téléphone portable (si le réseau veut bien passer), d'un sifflet (pour la sécurité) et d'un sac à dos bien rempli. Ce dernier est composé de deux gourdes en aluminium de 1 et 1,5 litre, d'une tente et d'un sac de couchage de bivouac, d'un poncho, d'un couteau Opinel (made in Maurienne justement !), d'une lampe écologique NightStar, de nourriture, de mouchoirs, de quelques médicaments et de quelques autres petits trucs...
Voilà voilà, que dire de plus. Ah si, je suis bien sûr muni de chaussures de randonnée et, sans vouloir faire de pub, pour vous équiper convenablement, je vous conseille la marque Quechua (Decathlon) qui propose des produits au très bon rapport qualité-prix.
Maintenant stop et en avant pour l'aventure rando !

MAJ : mise en place sur ce blog d'un compteur de visiteurs, via www.sitemeter.com, depuis le 20 février 2007.